Jeudi 18 novembre 2021,
18 h 30,
à l’Hôtel littéraire Alexandre Vialatte,
16 place Delille, Clermont-Ferrand
« Car l’Auvergne est une île. Le premier, Alexandre Vialatte l’a découvert.» C’est ce qu’on pouvait lire dans Europe en 1924, sous la plume d’Henri Pourrat. Alexandre Vialatte n’avait alors que 23 ans et son nom apparaissait ainsi pour la première fois dans les pages d’une revue qui lui consacre cet automne un riche numéro.
Si l’Auvergne est une île, l’œuvre du grand Alexandre est un archipel qu’Europe a choisi d’explorer sous tous ses aspects : Vialatte romancier, nouvelliste, chroniqueur, épistolier, sans oublier le traducteur précoce de Kafka. « Écrire, disait Vialatte, c’est courir après un sujet qui vous échappe, courir jusqu’au bout du vent. Mais où est le bout du vent ? »…
Férocité, humour, fantaisie et tendresse se superposent dans le plissé de la phrase de cet écrivain qui a toujours su éviter la lourdeur du sérieux pour dire des choses graves. Ce numéro d’Europe, enrichi d’une brassée de splendides inédits de l’écrivain, vient confirmer que la « vialattine » est une affection dont on ne saurait souhaiter guérir. Plutôt serait-on enclin à doucement la propager.
À l’invitation de Jacques Letertre, président de la Société des Hôtels littéraires, c’est ce que s’attachera à faire Denis Wetterwald, maître d’œuvre de ce numéro d’Europe, en compagnie de Jean-Baptiste Para, rédacteur en chef de la revue. Denis Wetterwald proposera à cette occasion de larges extraits de son spectacle conçu à partir des chroniques de Vialatte, véritable pépite sertie d’humour : L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau…
Si l’Auvergne est une île, l’œuvre du grand Alexandre est un archipel qu’Europe a choisi d’explorer sous tous ses aspects : Vialatte romancier, nouvelliste, chroniqueur, épistolier, sans oublier le traducteur précoce de Kafka. « Écrire, disait Vialatte, c’est courir après un sujet qui vous échappe, courir jusqu’au bout du vent. Mais où est le bout du vent ? »…
Férocité, humour, fantaisie et tendresse se superposent dans le plissé de la phrase de cet écrivain qui a toujours su éviter la lourdeur du sérieux pour dire des choses graves. Ce numéro d’Europe, enrichi d’une brassée de splendides inédits de l’écrivain, vient confirmer que la « vialattine » est une affection dont on ne saurait souhaiter guérir. Plutôt serait-on enclin à doucement la propager.
À l’invitation de Jacques Letertre, président de la Société des Hôtels littéraires, c’est ce que s’attachera à faire Denis Wetterwald, maître d’œuvre de ce numéro d’Europe, en compagnie de Jean-Baptiste Para, rédacteur en chef de la revue. Denis Wetterwald proposera à cette occasion de larges extraits de son spectacle conçu à partir des chroniques de Vialatte, véritable pépite sertie d’humour : L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau…